La pomme
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La pomme
Le fruit défendu : la pomme ou le sexe ?
Le fruit : une pomme ?
Il arrive souvent que le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal soit représenté par une pomme. Cependant, force est de reconnaître qu’il ne s’est jamais agi d’un pommier. La référence à la pomme est dû à ceci que, en latin, le mot « fruit » se traduit par le mot « pomum ». Les artistes ont cru juste de représenter le fruit en traduisant « Pomum » par « Pomme », ce qui fait qu’aujourd’hui, on parle d’une pomme. Sinon, le pommier que nous connaissons aujourd’hui se traduit en latin par « malus » qui se trouve être aussi l’adjectif pouvant être traduit en français par « mal, mauvais ». Alors le péché (originel) s’est traduit comme une mauvaise pomme mangée par nos premiers parents.
Le fruit : l’acte sexuel ?
C’est le glissement de cette interprétation qui a conduit beaucoup de personnes à penser que cette pomme mauvaise « au milieu du jardin » serait l’acte sexuel dont la connaissance serait mortelle pour l’homme, en sorte qu’il y a toujours une conception persistante de péché dans l’acte sexuel, même dans le mariage. Oui l’acte sexuel en dehors du mariage est un péché contre les 6e et 9e commandements. Dieu a pourtant dit à l’homme et la femme qu’il a unis une parole dont la conséquence implique la permission de l’union sexuelle : « Dieu les (homme et femme) bénit et leur dit : soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre… » (Gn 1, 28). L’ordre d’être fécond et de se multiplier implique une relation qui favorise la fécondité et la multiplication ». Dieu ne peut pas vouloir une chose et son contraire en même temps et sous le même rapport. Donc, évacuons l’interprétation que le fruit défendu est l’acte sexuel.
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Si le fruit de la connaissance du bien et du mal n’est pas la pomme, ni l’acte sexuel, quel est-il alors ? Là réside toute la problématique.
Le fruit : une pomme ?
Il arrive souvent que le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal soit représenté par une pomme. Cependant, force est de reconnaître qu’il ne s’est jamais agi d’un pommier. La référence à la pomme est dû à ceci que, en latin, le mot « fruit » se traduit par le mot « pomum ». Les artistes ont cru juste de représenter le fruit en traduisant « Pomum » par « Pomme », ce qui fait qu’aujourd’hui, on parle d’une pomme. Sinon, le pommier que nous connaissons aujourd’hui se traduit en latin par « malus » qui se trouve être aussi l’adjectif pouvant être traduit en français par « mal, mauvais ». Alors le péché (originel) s’est traduit comme une mauvaise pomme mangée par nos premiers parents.
Le fruit : l’acte sexuel ?
C’est le glissement de cette interprétation qui a conduit beaucoup de personnes à penser que cette pomme mauvaise « au milieu du jardin » serait l’acte sexuel dont la connaissance serait mortelle pour l’homme, en sorte qu’il y a toujours une conception persistante de péché dans l’acte sexuel, même dans le mariage. Oui l’acte sexuel en dehors du mariage est un péché contre les 6e et 9e commandements. Dieu a pourtant dit à l’homme et la femme qu’il a unis une parole dont la conséquence implique la permission de l’union sexuelle : « Dieu les (homme et femme) bénit et leur dit : soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre… » (Gn 1, 28). L’ordre d’être fécond et de se multiplier implique une relation qui favorise la fécondité et la multiplication ». Dieu ne peut pas vouloir une chose et son contraire en même temps et sous le même rapport. Donc, évacuons l’interprétation que le fruit défendu est l’acte sexuel.
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Si le fruit de la connaissance du bien et du mal n’est pas la pomme, ni l’acte sexuel, quel est-il alors ? Là réside toute la problématique.
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